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Face à l’inceste dénonce le cauchemar des enfants avec Publicis Conseil
Face au contexte actuel (l’affaire Duhamel), l’association Face à l’inceste (ex Aivi), accompagnée par Publicis Conseil, lance sa campagne de communication visant à instaurer la présomption d’absence de consentement de l’enfant dans la loi. En se plaçant à hauteur d’enfant, le film réalisé en animation par Jungler (accompagné du peintre NYC Jackson Edward Joyce), soulève la question du consentement et montre le cauchemar physique et psychologique que vivent les enfants. « Il s’agit d’arrêter de demander à un enfant, au même titre qu’un adulte, s’il était consentant à ces actes, explique Isabelle Aubry, présidente de Face à l’inceste. Arrêter de lui demander s’il était d’accord pour avoir des actes sexuels avec un membre de sa famille. Par ailleurs, cela envoie un message symbolique : les enfants doivent se protéger eux-mêmes, ils ne peuvent pas compter sur la loi. »
Le dispositif média (gracieux et négocié par Starcom, Publicis Media) a pour objectif d’inviter les Français à signer une pétition pour changer la loi. Intitulé « Deux cauchemars dans mon histoire », le film est diffusé en TV et VOL (TF1, Next, Amaury, BeInSport). Figurent aussi un dispositif digital (Madvertise, Digiteka, Mozoo, Tabmo, FreeWheel, Bliink, S4M, Sublime) et un dispositif presse (Le Monde, Libération, La Croix, Le Parisien – Aujourd’hui en France, Le Figaro).
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